De ce
nuage originel émergea le disque protoplanétaire où se forma notre bonne
vieille Terre durant à peu près le même temps, soit 4.47 milliards d’années (http://www.talkorigins.org/faqs/geohist.html)
(4.565 milliards d’années selon « Ciel et espace, novembre 2009). Des
nombreuses études, analyses, et hypothèses diverses qui ont été faites sur
l’origine de la vie, il ressortit que le mécanisme reconnu pour la création de
ces micro-organismes sur Terre, aurait nécessité beaucoup plus de temps pour se
développer que le milliard d’années disponible sur notre planète durant cette
période (4.5G-3.5G BP). En effet, les micro-organismes sont apparus sur Terre
il y a environ 3.5G d’années. Et il est convenu qu’à cette époque (4.5G-3.5G
BP) les conditions sur la planète étaient hostiles à l’apparition de la vie. La
température était beaucoup trop élevée et les conditions d’incubation trop
chaotiques et trop extrêmes pour en permettre l'éclosion dans un délai si
court. D’où l’idée de l’origine de la vie, venue de l’espace.
On parle
de la provenance des comètes, ces astres mythiques chevelus, de passage dans la
banlieue terrestre. À ce compte, il faudrait assurément que ce soit des comètes
extrasolaires, car les comètes qui limitent leurs orbites dans notre système
solaire ne sont guère plus vieilles que notre planète d’accueil. «De la matière extrasolaire gravite autour du Soleil. En modélisant le ballet des astres autour du centre de notre galaxie durant 4 milliards d'années, Catherine Gosmeyer (université de l'Indiana) a découvert que lorsque le Soleil frôle d'autres étoiles, il peut modifier par gravitation la trajectoire de leur comètes les plus externes... jusqu'à les capturer. Ainsi, 5% des comètes du lointains nuage d'Oort , à la lisière de notre système solaire, seraient nées autour d'une autre étoiles.» (Science & vie, Juin 2012). Si on suppose
que ces comètes qui nous ont apportées la vie puissent provenir ailleurs que du
système solaire, prenons l’hypothèse de l’étoile la plus proche, Proxima du
Centaure, et bien elles auraient parcouru la distance de 4.1013km en
moins de 25 000 ans avant de parvenir jusqu’à nous à la vitesse de 52 km/sec.
Le même type de comète porteur de vie, provenant d’une quelconque nébuleuse
planétaire située aux confins de notre galaxie, aurait pu nous parvenir, quant
à elle, à l’intérieur de + ou - 400 millions d’années. Celle-ci pouvant
provenir d’une nébuleuse planétaire génitrice d’une étoile plus vieille que les
4.6 milliards d’années, âge estimé de notre Soleil, soit depuis 7, 8, 9, 10,
12milliards d’années. Qui sait ?
Maintenant,
si nous partons du principe d’isotropie (l’univers est identique
à lui-même dans n'importe quelle direction) et d’universalité de l’univers (les propriétés
globales de l'Univers ne doivent dépendre ni de l'endroit ni de l'époque où
elles ont été réalisées),
et que nous appliquons à nos analyses le principe du « rasoir d’Occam » que
l’on pourrait traduire par : « une hypothèse est reçue vraie si elle est la
plus simple explication disponible de l'évidence » (http://fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir_d%27Ockham),
et bien ne devrions-nous pas à juste raison, croire que la vie ne peut
s’exprimer autrement que par ce que nous connaissons sur Terre?
En effet,
nous sommes en mesure de constater selon les connaissances que nous avons de
l’univers, que les organismes vivants sur Terre sont composés d’un assemblage
d’atomes. Ces mêmes atomes ont été fabriqués en majeure partie par
nucléosynthèse stellaire au cœur des étoiles de la séquence principale du
diagramme Hertzsprung-Russell et par nucléosynthèse explosive dans les supernovas.
Et ce, nonobstant une proportion d’éléments primordiaux, tels l’hydrogène, le
deutérium, l’hélium, le béryllium, le lithium et le bore, à peu de chose près,
lesquels ont été créés dans les premières minutes suivant le Big-bang, soit
lors de la nucléosynthèse primordiale.
Les
atomes nécessaires à la vie se résument en majeure partie à l’hydrogène,
l’oxygène, le carbone, l’azote, le phosphore, le soufre et le calcium. Ainsi,
avant que ne puissent être créé les organismes vivants, de la bactérie aux
mammifères, en passant par les algues bleues, il aura toujours bien fallu que
les atomes des éléments qui composent ces organismes puissent être créés. Nous
le savons maintenant, créés dans le creuset des étoiles (de première ou
deuxième génération), après une centaine de million d’années, dont celles de
type super géantes, destinées en fin de vie à se transformer en supernova. Les
résidus qui ont suivi l’explosion de ces étoiles, fournissant la matière
première des composants des hypothétiques mais probables organismes vivants, à
l’intérieur des innombrables nébuleuses proto-stellaires. Lesquelles
nébuleuses, d’ailleurs, ont fourni les matériaux de base à la source de notre
système solaire dans La Voie Lactée, il y a de cela près de 8 milliards
d’années.
Aussi, il
est important de connaître le temps nécessaire requis avant que n’explosent les
premières supernovas susceptibles de fournir l’ensemble des éléments naturels
composant le tableau périodique des éléments. Il semble que le type d’étoile de
masse plus grande que 20 masses solaires, pouvant engendrer une supernova, ait
une période de vie plutôt restreinte, soit plus ou moins une centaine de
million d’années, par rapport à une étoile dite moyenne comme notre Soleil,
lequel peut dégager une énergie selon toute vraisemblance durant
approximativement de 10 à 12 G d’années. On peut donc penser, suite à la
formation de la première génération d’étoiles, il y a de cela plus de 13.5 G
d’années, que l’ensemble des atomes des éléments existent dans l’univers depuis
environ 12.5 à 13 G d’années. (Par contre, cela n’explique pas le temps requis
pour créer les premiers éléments du tableau périodique, soient les éléments du
Bore jusqu’aux éléments incluant ceux du Fer, lesquels auraient été créés et
semés dans les nuages stellaires à la suite des fusions nucléaires successives
à l’intérieur des étoiles de la catégorie de masse solaire. Laquelle catégorie
de type naine jaune, représente à elle seule, près de 9% du parc d’étoiles de
classe G. La balance des éléments naturels apparaissant au Tableau périodique
ayant été créée, quant à eux, dans les supernovas de classe A, laquelle
représente à peine 1% de l’inventaire stellaire.) Donnant ainsi, bien sûr, tout
le temps nécessaire à la vie pour s’organiser et se complexifier sur Terre. Et,
il faut bien le dire, à tous autres endroits susceptibles de rencontrer les
conditions primordiales nécessaires à la création de la vie dans l’univers,
telle que nous la connaissons sur la base du carbone. À ce propos, il fut
démontré que la couche externe composée de 4 électrons de l’atome neutre du
carbone est capable de combinaison avec des atomes électropositifs aussi bien
qu’électronégatifs. Ce qui en résulte une capacité particulière de se lier à
d’autres atomes, pouvant former ainsi des chaînes d’une grande complexité.
C’est pourquoi je précise sur la base du carbone, car ne l’oublions pas,
l’univers étant isotrope et universel, il n’y a aucune raison pour que la vie
se fixe de quelle qu’autre manière, étant donné que le pourcentage des éléments
connus est le même globalement dans l’ensemble des structures de l’univers.
L’analyse des études spectroscopiques des objets cosmologiques pointés dans
différentes directions de l’univers, ayant pu le confirmer entres autres
choses. Ainsi, ce que la nature a considéré bon pour « minou » chez nous, il
s’avère qu’il ni a aucune raison pour que la nature réagisse autrement pour «
pitou », ailleurs.
Bien plus que la composition atomique, c’est
l’arrangement des atomes en molécules qui s’avère être spécifique de la vie.
Celle-ci se fonde sur les composés du carbone qui représente 90% d’un être
vivant, si on ne tient pas compte de l’eau. Par contraste, l’environnement «
solide » du monde vivant est basé sur la silice et les silicates, qui
constituent à eux seuls 94% de la matière des roches qui forment la surface de
la Terre. Et, contrairement à la structure moléculaire des substances inertes
qui est le plus souvent de type répétitif et monotone, le vivant présente une
organisation moléculaire extraordinairement diversifiée(1). C’est la raison pour laquelle, je
crois que la vie dans l’univers est relativement similaire dans son origine et
sa composition. Et cela explique pourquoi je demeure persuadé que les
organismes vivant potentiellement dans l’Univers, qu’ils soient unis ou
pluricellulaires, complexifiés ou non, ont à peu de chose près le même aspect
que nous retrouvons sur Terre. Ils sont fabriqué avec le même type de cellules,
découlant des mêmes atomes des éléments composant le même tableau de Mendeleïev,
sans un de plus à l’état naturel, sans un de moins (ce tableau périodique des
92 éléments de base naturels pouvant porter un autre nom sur la planète
Vulcain, j’en conviens
). Naturellement,
l’évolution de leur apparence sur une quelconque exo-planète étant à peu de
chose près transposée proportionnellement à leur évolution sur Terre dans le
passé, par rapport à aujourd’hui, s’il en est, ou projeté dans un futur
correspondant à autant d’années, selon la situation.
Mais,
nous sommes tout de même en droit de se questionner : Ce micro-organisme
initial localisé dans la comète, comment s’est-il créé ? D’où vient-il ? Sur la
comète, pas d’eau liquide à ce que l’on sache ? Glace et sublimation, dans son
état. Sublimation qui s’opère près du passage d’une étoile seulement. La vie
peut-elle être créée dans un milieu uniquement de glace ? Lorsqu’on parle de
possibilité de vie sur une planète ou un satellite de glace, on suppose dans
l’eau « liquide » sous la glace, n’est-ce pas ? Tout cela ne nous explique toujours
pas comment s’est organisé le ou les premiers balbutiements de la vie,
hypothétiquement en provenance de ces objets interstellaires qui se sont
écrasés sur Terre, il y a de cela près de 4.0 G d’années.
Je vous
invite à faire un survol sur le déroulement de la vie, telle que nous la
connaissons chez nous. Ainsi, dans le premier milliard d’années de la création
de la planète Terre, les conditions étaient hostiles à l’apparition de la vie.
Comme je le mentionnais, la température étant trop élevée à ce moment, et les
conditions d’incubation trop chaotiques et trop extrêmes. Un regard sur notre
passé originel nous indique que la vie a fait son apparition aux alentours de
3.5 milliards d’années sur Terre sous forme de bactéries (certains avancent 3.8
milliards d’années, en faisant référence aux stromatolithes d'Acasta, dans le
Nord-Ouest du Canada), ainsi que d’algues bleus (les fameuses cyanobactéries
qui infestent certains plans d'eau au Québec depuis quelques années), puis des
eucaryotes (cellules à noyaux), suivis des êtres pluricellulaires et des vers
dans l’ère précambrien, soit jusqu’à environ 575 millions d’années (BP), avant
l’ère présent (540 millions d’années selon Larousse).
Nos
recherches archéologiques nous démontrent donc, que les premiers 4 milliards
d’années d’existence de la Terre ont été le témoin de la création d’une forme
de vie, on ne peut plus basique qui se retrouvait dans nos océans primitifs. Il
faut attendre l’ère Cambrien pour constater l’apparition de la plupart des
groupes d'invertébrés. Suivra par la suite, vers 245 millions d’années, le
développement des faunes marines (ammonites) et des faunes continentales
(reptiles notamment). Ce délai depuis le début de la création de la vie étant
entrecoupé de 6 périodes d’extinctions importantes d’espèces. Dont celle
correspondant à l’ère cénozoïque, laquelle verra le développement des
mammifères, il y a de cela environ 65 millions d’années. «Contrairement à ce que l'on pensait, les mammifères ont commencé à se développer bien avant la disparition des dinosaures terrestres, survenue il y a près de 66 millions d'années. En analysant l'évolution de la dentition d'un ordre de mammifères rongeurs vivant à diverses époques, des biologistes américains, australiens et finlandais ont montré que ceux-ci avaient réussi à diversifier leur nourriture - profitant de l'apparition des premières plantes à fleurs - pour s'affranchir de la concurrence alimentaire des dinosaures et se multiplier. Et ce, au moins 20 millions d'années avant la disparition des géants.» (Science & vie, Juin 2012). L’ère quaternaire ou le
pléistocène qui date environ de 2 millions d’année est défini, quant à lui, de
façon très anthropologique par rapport à l'apparition de l'homme moderne. On
peut constater à travers les âges, de la diversité et de la complexité de la
vie qui n’ont été qu’en s’accroissant. Claude-Louis Gallien, dans « L’énigme
des origines, l’univers, la vie et l’homme », donne une définition à la vie, la
décrivant comme un ensemble équilibré et organisé de structures
moléculaires de haute complexité, distinct de son environnement et qui
fonctionne de façon intégrée suivant un programme défini. Les systèmes vivants
sont capables de se reproduire, d’évoluer et de se diversifier. Ils partagent
un héritage génétique commun et sont interdépendants.
Nous
soupçonnons qu’un cataclysme majeur a eu comme conséquence la disparition des
dinosaures au début de l’ère tertiaire (cénozoïque). Ce qui aurait permis, sans
que nous ne comprenions trop pourquoi d’ailleurs, le développement irréversible
de la classe des mammifères sur Terre. En conséquence de quoi l’émergence de
notre espèce sapiens, de sous-classe placentaire, exerça sa suprématie sur
l’ensemble de la planète. Tout cela ne signifiant pas pour autant que les mêmes
conditions puissent être rencontrées sur une quelconque exo-planète. Laquelle
planète d’ailleurs reste à découvrir, s’il en est. En effet, au mieux, tenant
compte que les mêmes éléments (H, He, Li, Be…) sont présents dans l’ensemble de
notre univers, l’évolution de la vie se ferait avec la même relative lenteur,
ailleurs. Par contre, dans des conditions initiales moins propices, elle aurait
peu de chance d’atteindre l’efficacité optimale dans la complexité de son
évolution, telle que nous l’avons connu sur Terre. Car selon mon opinion, et jusqu’à preuve du contraire, Homo sapiens demeure l’espèce ayant atteint ce
sommet de perfection dans l’évolution de la vie. Peut-être l’évolution se
limiterait-elle alors à seulement quelques organismes pluricellulaires ne
dépassant pas le stade des organismes qui habitaient nos océans à l’ère
primaire.
Et même
en supposant que l’évolution de la vie ne se destinait pas à la primauté de
l’Homme sur Terre, et que par ailleurs la vie se complexifie à un degré
dépassant celui des cellules bactériennes, je ne crois pas qu’un reptile ou
quelque animal de classe autre que celle des mammifères aurait pu évoluer
jusqu’à devenir un être pensant, logique et intelligent sur Terre de même que
dans l’univers en général. Au même titre que nous le sommes devenus, nous les
Terriens. Car compte tenu des éléments et de la base organique sur laquelle son
évolution s’appuie, ce challenger aurait été de la même façon fragile à résister aux
phénomènes cataclysmiques causés par les climats extrêmes lors des multiples
périodes glacières et des bombardements météoritiques, sinon aux éruptions
volcaniques massives, aux inondations diluviennes, aux tremblements de terre,
aux cyclones, aux tornades, aux températures extrêmes, etc. Il serait ainsi
destiné à périr, ou limité dans son évolution par son niveau d’adaptation
déficiente. Alors, tout comme ici sur la planète Terre, il le serait également
dans le cadre de son évolution sur toute autre planète hypothétique pouvant
supporter quelques formes de vie.
Pourquoi
l’homme est-il parvenu à ce stade d’évolution hors norme par rapport aux autres
espèces d’animaux ? Sa préhistoire et son histoire nous apprennent que sa
capacité d’adaptation lui a assuré sa place privilégiée dans la nature. Cette
grande capacité d’adaptation lui aura permis de se protéger de ses prédateurs
en se regroupant en cellules sociales, en inventant des armes et des techniques
défensives et offensive décisives (déterminantes), lui offrant une meilleure
chance de s’en tirer et assurer ainsi, la reproduction de son espèce sur
l’ensemble des continents. Nous en avons une bonne idée, lorsque l’on constate
l’efficacité de son combat face à ses prédateurs potentiels, tel le mammouth,
le loup, le glouton, l’ours, l’hyène et le lion des cavernes, et même ses
propres congénères. Ainsi, malheureusement (ou heureusement pour nous,
dépendamment du point du vue où l’on se place) il étendit son hégémonie à
travers les millénaires en disséminant ses ancêtres ou «cousins» lointains, que
l’on parle des divers australopithèques ou encore, l’Homme de Neandertal. Ce
qui lui permis d’évoluer dans le temps à travers Homo habilis, Homo erectus,
Homo ergaster et finalement Homo sapiens, en modifiant ses programmes
génétiques (mutations), puis en sélectionnant et en fixant des formes nouvelles
en fonction de son environnement. Une meilleure nourriture carnivore et la
maîtrise du feu par la suite, auront contribué sans doute à permettre un
accroissement du volume de son cerveau. Ainsi, de 590 cm3 pour Homo
habilis, il atteindra un volume moyen de 1595 cm3 pour Homo sapiens.
De plus, le ratio du volume de son cerveau par rapport au volume de son corps
s’avère de beaucoup plus important (un rapport de 1/50 à 1/400 pour le poids
respectif du cerveau de l’homme et de l’éléphant), comparé avec la faune
terrestre ou marine:
Il y aura
une exception, soit celle du dauphin, mais n’est-il pas de la classe des
mammifères lui aussi, également de sous-classe placentaire ou euthérien ? Ce
qui laisse suggérer l’indice d’une des causes de l’extraordinaire suprématie de
l’Homme sur la nature. Cela l’amena à un niveau de penser qui lui fût d’une
utilité indéniable pour sa survie physique dans un premier temps, et bénéficia
à son évolution psychique, morale, et spirituelle. Laquelle se refléta dans sa
capacité salvatrice à se regrouper pour vivre en société sédentaire pastorale,
ce qui favorisa l’émergence de son génie créatif, technique et artistique, par
surcroît.
D’ailleurs,
cela nous permet d’échanger aujourd’hui sur des thèmes tout à fait abstraits,
et que nous puissions en éprouver quelques plaisirs et satisfactions bien
légitimes, s’il en est. Et convenons entre nous, qu’il faut avoir atteint un
degré de civilisation hautement sophistiqué, agrémenté d’une sécurité très
élevée face à nos besoins primaires pour nous permettre cette liberté de
réflexion en toute quiétude. Luxe que ne pouvait se payer nos ancêtres, il n’y
a pas si longtemps.
En
conclusion, je ne crois pas qu’il soit prétentieux ou inconvenant de prétendre
(d’affirmer) que nous soyons situés au sommet de la pyramide de la marche du
vivant vers la complexité. Mais, à compter du moment où nous en sommes
conscient, ce serait tout de même plus valorisant pour l’espèce humaine que
nous sachions en être dignes.
François Langlois
François Langlois
«
L’énigme des origines, l’univers, la vie et l’homme », par Claude-Louis
Gallien.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire