Les jours passent et se ressemblent. Et personne chez nos
élu(e)s ne semblent se soucier des drames qui se dessinent pour des centaines
de jeunes, sinon des milliers, qui prendront la décision d’abandonner leurs études
supérieures par dépit, par manque d’encouragement, par manque d’appui, par manque
de motivation, par manque d’argent.
Combien d'étudiants sont pris entre l’arbre et l’écorce?
Qui pense à eux dans cette triste épreuve de force d’adultes
expérimentée de politiciens aguerris plus à la recherche de sauver la face contre
l’expression d’un idéalisme naturel réformateur d’une société en mouvement promu
par chaque nouvelle génération?
Qui pense aux jeunes
étudiants et étudiantes qui font partie de la minorité en votant « non »
lors des votes de boycottage des cours (grève) et qui accepte, contre mauvaise
fortune bon cœur, le jeu de la démocratie? Ces élèves étant mis indirectement
en lock-out par notre gouvernement, celui-ci refusant de négocier avec les
organismes représentant les étudiants et les étudiantes?
De quels groupes les citoyens s’attendent-ils de se montrer plus
sages et plus raisonnable dans ce dossier pour trouver une solution rassembleuse
inspirée d’une direction éclairée?
Les étudiants et les étudiantes en apprentissage de la vie d'adulte gorgés d’idéalisme
prometteur d’avenir plus équitable pour chaque citoyen, ou nos dirigeants qui
nous semblent plus en apprentissage de leadership qu’en mode résolution défi à
relever?
François Langlois
François Langlois
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