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mercredi 19 décembre 2012

La lecture...quossa donne???

La lecture...quossa donne??? J'sé pas????????

Pour paraphraser Pierre Bourgeault, «entre deux ''games'' Xbox faudrait faire quec'chose, entre deux textos faudrait s'grouillez l'cul.»







http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/alain-dubuc/201212/18/01-4605107-savoir-lire.php#commenter

La semaine dernière, on apprenait que les jeunes Québécois ne se classaient pas très bien dans une vaste enquête internationale sur les compétences en lecture d'enfants de quatrième année. Ils se retrouvent au 21erang sur un groupe de 45 pays, et en avant-dernière position au sein des provinces canadiennes.





Salle de lecture dans le Collège de Boston

http://collegeapps.about.com/od/phototours/ss/boston-college-photo-tour_6.htm

Victoria, l'héroïne.




C'est Victoria. Elle est morte en héroïne lors de la fusillade dans une école du Connecticut. Elle cacha ses élèves de première année dans les armoires et les placards, après avoir entendu les coups de feu. Lorsque le tireur est venu à sa classe, elle lui a dit que ses élèves se trouvaient dans la salle de gym. Il l'a alors abattu. Elle a sauvé la vie de tous ses élèves.



On peut être toute sa vie à essayer de comprendre, donner un sens à notre passage sur Terre. Certaines personnes choisissent de conquérir le monde pour le mettre sous sa botte et assouvir leur pulsion de domination. Tandis que d'autres se destinent plutôt à interagir dans le monde immédiat où elles évoluent. Et quelques fois dans son existence, sans trop savoir ou comprendre pourquoi, elles choisissent de poser une action dans le respect de la sauvegarde des valeurs qui leurs sont chères, parfois jusqu'au sacrifice de leurs vies. Ainsi va la vie. 

dimanche 9 décembre 2012

Les commissions scolaires dénoncent les compressions de Québec


Le budget total des commissions scolaires du Québec est de 10 milliards $.
PHOTO: ALAIN ROBERGE, LA PRESSE


MARIE-MICHÈLE SIOUI - La Presse Canadienne
Il n'est pas question d'augmenter les taxes scolaires avant d'avoir discuté avec le gouvernement, tonnent les commissions scolaires, qui se disent déjà étouffées par des compressions budgétaires qui atteindront un demi-milliard de dollars en trois ans.





Pour la présidente de la Fédération des commissions scolaires du Québec, Josée Bouchard, les réductions annoncées dans le budget péquiste pour les années 2013-2014 sont fort difficiles à digérer.
Déjà, les deux derniers budgets de l'ancien gouvernement libéral imposaient des compressions d'environ 300 millions $, et à ce montant sont venus s'ajouter les 200 millions $ de coupes inscrites au budget de l'actuel ministre des Finances, Nicolas Marceau.
Le problème, de l'avis de Mme Bouchard, est que les commissions scolaires se retrouvent devant une alternative: couper dans le système administratif ou hausser les taxes scolaires. Et puisque la proportion du budget accordée à l'administration est de 5 pour cent -ce qui en fait le plus bas taux de coût de gestion de tout l'appareil public et parapublic au Québec, selon Mme Bouchard-, alors les commissions scolaires se trouvent contraintes de piger dans les poches des contribuables.
Or ces dernières ne veulent ni porter l'odieux des compressions, ni mettre en péril l'équité des services qu'elles disent défendre. Comme l'explique Mme Bouchard, certaines commissions scolaires recueillent une quantité amplement suffisante de revenus par les taxes scolaires. C'est le cas à Montréal, notamment, où le prix élevé des maisons a nécessairement un impact sur les taxes.
En revanche, les plus petites commissions scolaires peinent à rejoindre les deux bouts. Celles-ci auront plus de difficulté à absorber les compressions, de l'avis de Mme Bouchard, et devront se tourner vers les contribuables.
«Le système d'éducation au Québec a été voté sur la valeur de l'équité, et nous voulons nous assurer que tous les enfants ont accès à la même qualité de services, lance Mme Bouchard. Nous voulons nous asseoir avec le gouvernement pour établir un nouveau pacte fiscal.»
L'effort budgétaire demandé aux commissions scolaires vient notamment du manque à gagner créer par l'abandon, par le gouvernement péquiste, d'une mesure de péréquation visant à assurer le financement des commissions scolaires. Lorsque la valeur des maisons avait bondi en 2006, les taxes sur ces résidences avaient évidemment augmenté elles aussi. Le gouvernement de l'époque avait alors choisi d'alléger le fardeau des acheteurs en réduisant la taxe scolaire. Il allait ainsi combler le manque à gagner en fournissant les fonds «manquants» aux commissions scolaires. Aujourd'hui, c'est la correction de cet écart que les péquistes comptent abolir.
Le budget total des commissions scolaires du Québec est de 10 milliards $. Selon Mme Bouchard, 80 pour cent de ce montant est dédié aux salaires des enseignants, et il est donc «impossible de couper là-dedans».
Si les compressions sont appliquées, ce sont les activités des commissions scolaires qui risquent de s'en ressentir, selon elle. Ces organisations s'occupent notamment des questions liées au transport scolaire, aux bulletins, aux payes, aux conventions collectives, à l'entretien des écoles aux inscriptions et aux services de conseillers pédagogiques.
«Si on abolit tout ça, on perdra non seulement des employés, mais également le souci d'équité de distribution des services», s'inquiète Mme Bouchard.


jeudi 6 décembre 2012

Les hommes des cavernes dessinaient mieux que les artistes modernes



Voir:  http://www.lascaux.culture.fr/#/fr/02_00.xml
Les grottes de Lascaux, en France.
PHOTO AFP

Les hommes des cavernes dessinaient mieux la démarche des animaux que les artistes modernes, selon des comparaisons effectuées par des chercheurs dont les résultats sont publiés mercredi dans une revue scientifique américaine.
La plupart des quadrupèdes ont une séquence similaire dans le déplacement de leurs pattes, qu'ils marchent, trottent ou courent.
Ces mouvements ont été étudiés scientifiquement à partir du début des années 1880 par Eadweard Muybridge, un photographe britannique célèbre pour ses décompositions photographiques du mouvement dont se sont ensuite inspirés de nombreux artistes.
Les auteurs de cette recherche ont examiné les peintures préhistoriques de boeufs et d'éléphants dans plusieurs grottes comme celle de Lascaux en France ainsi que des tableaux et des statues modernes représentant aussi des quadrupèdes en mouvement.
Ils ont évalué l'exactitude de la reproduction du mouvement dans ces peintures et sculptures par rapport aux observations scientifiques des démarches de ces animaux.
Ils ont découvert que souvent les animaux représentés marchant ou trottant avaient leurs pattes dans des positions erronées.
Les peintures préhistoriques, elles, avaient un taux d'erreur nettement plus faible (46,2%) que les oeuvres modernes (83,5%) datant d'avant 1887, année à laquelle remontent les travaux de Muybridge. Ce taux d'erreur est tombé après cette date à 57,9%.
Cette étude effectuée par Gabor Horvath de l'Université Eotvos à Budapest en Hongrie, paraît dans la revue scientifique américaine PLOS ONE datée du 5 décembre.
Agence France-Presse
Washington

Le radon au Canada



(En construction)

La concentration de radon en pourcentage de la population dans les foyers canadiens.



dimanche 2 décembre 2012

L'origine des espèces



Pour mieux comprendre la théorie sur l’origine des espèces pensée par Darwin, voici une histoire dont malheureusement, l’auteur demeure inconnu pour moi, jusqu’à ce jour. On la raconte à peu près comme suit :

Il était une fois, deux hippopotames qui courraient allègrement dans la savane africaine, origine probable des espèces oblige. Ils courraient ainsi, les jambes à leur cou, et dieu sait que ce n’est pas évidant pour un hippo étant donné la longueur de leurs pattes, pour échapper au roi lion affamé. Tout haletant, le premier hippopotame dit à son voisin de gauche : « Je me demande bien, pourquoi on court tant, car on sait bien tous les deux que le lion va nous rattraper de toutes façons. »


Le hippopotame de gauche de lui répondre : « Ce n’est pas tant de courir plus vite que le lion que j’essaie de faire, mais bien de courir plus vite que toi. ».




Si vous avez compris le punch de l’histoire, vous avez compris pourquoi vous en êtes témoin, aujourd’hui. Et ceci, nonobstant la part, non négligeable du hasard, il faut bien le dire, dont dépendent les lois de la création, qui a permis que vous y réfléchissiez présentement.