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mercredi 19 décembre 2012

La lecture...quossa donne???

La lecture...quossa donne??? J'sé pas????????

Pour paraphraser Pierre Bourgeault, «entre deux ''games'' Xbox faudrait faire quec'chose, entre deux textos faudrait s'grouillez l'cul.»







http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/alain-dubuc/201212/18/01-4605107-savoir-lire.php#commenter

La semaine dernière, on apprenait que les jeunes Québécois ne se classaient pas très bien dans une vaste enquête internationale sur les compétences en lecture d'enfants de quatrième année. Ils se retrouvent au 21erang sur un groupe de 45 pays, et en avant-dernière position au sein des provinces canadiennes.





Salle de lecture dans le Collège de Boston

http://collegeapps.about.com/od/phototours/ss/boston-college-photo-tour_6.htm

Victoria, l'héroïne.




C'est Victoria. Elle est morte en héroïne lors de la fusillade dans une école du Connecticut. Elle cacha ses élèves de première année dans les armoires et les placards, après avoir entendu les coups de feu. Lorsque le tireur est venu à sa classe, elle lui a dit que ses élèves se trouvaient dans la salle de gym. Il l'a alors abattu. Elle a sauvé la vie de tous ses élèves.



On peut être toute sa vie à essayer de comprendre, donner un sens à notre passage sur Terre. Certaines personnes choisissent de conquérir le monde pour le mettre sous sa botte et assouvir leur pulsion de domination. Tandis que d'autres se destinent plutôt à interagir dans le monde immédiat où elles évoluent. Et quelques fois dans son existence, sans trop savoir ou comprendre pourquoi, elles choisissent de poser une action dans le respect de la sauvegarde des valeurs qui leurs sont chères, parfois jusqu'au sacrifice de leurs vies. Ainsi va la vie. 

dimanche 9 décembre 2012

Les commissions scolaires dénoncent les compressions de Québec


Le budget total des commissions scolaires du Québec est de 10 milliards $.
PHOTO: ALAIN ROBERGE, LA PRESSE


MARIE-MICHÈLE SIOUI - La Presse Canadienne
Il n'est pas question d'augmenter les taxes scolaires avant d'avoir discuté avec le gouvernement, tonnent les commissions scolaires, qui se disent déjà étouffées par des compressions budgétaires qui atteindront un demi-milliard de dollars en trois ans.





Pour la présidente de la Fédération des commissions scolaires du Québec, Josée Bouchard, les réductions annoncées dans le budget péquiste pour les années 2013-2014 sont fort difficiles à digérer.
Déjà, les deux derniers budgets de l'ancien gouvernement libéral imposaient des compressions d'environ 300 millions $, et à ce montant sont venus s'ajouter les 200 millions $ de coupes inscrites au budget de l'actuel ministre des Finances, Nicolas Marceau.
Le problème, de l'avis de Mme Bouchard, est que les commissions scolaires se retrouvent devant une alternative: couper dans le système administratif ou hausser les taxes scolaires. Et puisque la proportion du budget accordée à l'administration est de 5 pour cent -ce qui en fait le plus bas taux de coût de gestion de tout l'appareil public et parapublic au Québec, selon Mme Bouchard-, alors les commissions scolaires se trouvent contraintes de piger dans les poches des contribuables.
Or ces dernières ne veulent ni porter l'odieux des compressions, ni mettre en péril l'équité des services qu'elles disent défendre. Comme l'explique Mme Bouchard, certaines commissions scolaires recueillent une quantité amplement suffisante de revenus par les taxes scolaires. C'est le cas à Montréal, notamment, où le prix élevé des maisons a nécessairement un impact sur les taxes.
En revanche, les plus petites commissions scolaires peinent à rejoindre les deux bouts. Celles-ci auront plus de difficulté à absorber les compressions, de l'avis de Mme Bouchard, et devront se tourner vers les contribuables.
«Le système d'éducation au Québec a été voté sur la valeur de l'équité, et nous voulons nous assurer que tous les enfants ont accès à la même qualité de services, lance Mme Bouchard. Nous voulons nous asseoir avec le gouvernement pour établir un nouveau pacte fiscal.»
L'effort budgétaire demandé aux commissions scolaires vient notamment du manque à gagner créer par l'abandon, par le gouvernement péquiste, d'une mesure de péréquation visant à assurer le financement des commissions scolaires. Lorsque la valeur des maisons avait bondi en 2006, les taxes sur ces résidences avaient évidemment augmenté elles aussi. Le gouvernement de l'époque avait alors choisi d'alléger le fardeau des acheteurs en réduisant la taxe scolaire. Il allait ainsi combler le manque à gagner en fournissant les fonds «manquants» aux commissions scolaires. Aujourd'hui, c'est la correction de cet écart que les péquistes comptent abolir.
Le budget total des commissions scolaires du Québec est de 10 milliards $. Selon Mme Bouchard, 80 pour cent de ce montant est dédié aux salaires des enseignants, et il est donc «impossible de couper là-dedans».
Si les compressions sont appliquées, ce sont les activités des commissions scolaires qui risquent de s'en ressentir, selon elle. Ces organisations s'occupent notamment des questions liées au transport scolaire, aux bulletins, aux payes, aux conventions collectives, à l'entretien des écoles aux inscriptions et aux services de conseillers pédagogiques.
«Si on abolit tout ça, on perdra non seulement des employés, mais également le souci d'équité de distribution des services», s'inquiète Mme Bouchard.


jeudi 6 décembre 2012

Les hommes des cavernes dessinaient mieux que les artistes modernes



Voir:  http://www.lascaux.culture.fr/#/fr/02_00.xml
Les grottes de Lascaux, en France.
PHOTO AFP

Les hommes des cavernes dessinaient mieux la démarche des animaux que les artistes modernes, selon des comparaisons effectuées par des chercheurs dont les résultats sont publiés mercredi dans une revue scientifique américaine.
La plupart des quadrupèdes ont une séquence similaire dans le déplacement de leurs pattes, qu'ils marchent, trottent ou courent.
Ces mouvements ont été étudiés scientifiquement à partir du début des années 1880 par Eadweard Muybridge, un photographe britannique célèbre pour ses décompositions photographiques du mouvement dont se sont ensuite inspirés de nombreux artistes.
Les auteurs de cette recherche ont examiné les peintures préhistoriques de boeufs et d'éléphants dans plusieurs grottes comme celle de Lascaux en France ainsi que des tableaux et des statues modernes représentant aussi des quadrupèdes en mouvement.
Ils ont évalué l'exactitude de la reproduction du mouvement dans ces peintures et sculptures par rapport aux observations scientifiques des démarches de ces animaux.
Ils ont découvert que souvent les animaux représentés marchant ou trottant avaient leurs pattes dans des positions erronées.
Les peintures préhistoriques, elles, avaient un taux d'erreur nettement plus faible (46,2%) que les oeuvres modernes (83,5%) datant d'avant 1887, année à laquelle remontent les travaux de Muybridge. Ce taux d'erreur est tombé après cette date à 57,9%.
Cette étude effectuée par Gabor Horvath de l'Université Eotvos à Budapest en Hongrie, paraît dans la revue scientifique américaine PLOS ONE datée du 5 décembre.
Agence France-Presse
Washington

Le radon au Canada



(En construction)

La concentration de radon en pourcentage de la population dans les foyers canadiens.



dimanche 2 décembre 2012

L'origine des espèces



Pour mieux comprendre la théorie sur l’origine des espèces pensée par Darwin, voici une histoire dont malheureusement, l’auteur demeure inconnu pour moi, jusqu’à ce jour. On la raconte à peu près comme suit :

Il était une fois, deux hippopotames qui courraient allègrement dans la savane africaine, origine probable des espèces oblige. Ils courraient ainsi, les jambes à leur cou, et dieu sait que ce n’est pas évidant pour un hippo étant donné la longueur de leurs pattes, pour échapper au roi lion affamé. Tout haletant, le premier hippopotame dit à son voisin de gauche : « Je me demande bien, pourquoi on court tant, car on sait bien tous les deux que le lion va nous rattraper de toutes façons. »


Le hippopotame de gauche de lui répondre : « Ce n’est pas tant de courir plus vite que le lion que j’essaie de faire, mais bien de courir plus vite que toi. ».




Si vous avez compris le punch de l’histoire, vous avez compris pourquoi vous en êtes témoin, aujourd’hui. Et ceci, nonobstant la part, non négligeable du hasard, il faut bien le dire, dont dépendent les lois de la création, qui a permis que vous y réfléchissiez présentement.

mercredi 28 novembre 2012

L'avenir appartient à ceux qui le prépare aujourd'hui.



À ceux et celles qui pensent que la santé est plus importante que l'éducation, sachez que l'éducation est le passeport pour le futur. La santé soigne au présent. L'éducation est un soin préventif pour nous permettre de mieux vivre en santé dans le futur. L'avenir appartient à ceux qui le prépare aujourd'hui.





Les étudiants et le domaine de la physique


Chacun parle de l'importance d'intéresser les jeunes à la physique. Mais il ne peut y avoir de meilleure manière qu'en donnant aux étudiants un vrai projet assorti d'une date-butoir. Ainsi, David Cussans, physicien des particules à l'université de Bristol au R-U, a encouragé un groupe d'élèves à construire un instrument pouvant détecter les rayonnements cosmiques – et les mettre en compétition à l'aide de leurs instruments confectionnés, prêts à voler à bord d'une montgolfière, dans ce cas-ci de Bristol International.


Students take cosmic-ray balloon challenge - physicsworld.com



Ô holy night...Minuit chrétien


Pour cette première neige significative attendu d'ici ce soir, un avant goût de la période festive de décembre que je nous souhaite aussi rafraîchissante que la prestation attendrissante de cette jeune fille. Pensez-y, seulement une semaine avant l'achat de notre arbre de décembre. Je sens que ça va passer vite. :)



Commissions scolaires: le malaise


















La semaine dernière, à Québec, pendant le long huis clos du budget, une vieille connaissance du milieu politique devenue conseillère de la ministre de l'Éducation Marie Malavoy est venue m'entretenir des mesures touchant les commissions scolaires.
«T'intéresses-tu aux changements à la péréquation pour les commissions scolaires?», m'a-t-elle demandé.
«Euh, non, j'avoue ne pas m'être penché là-dessus, pourquoi?» En fait, je m'imaginais en train d'essayer de «vendre» mon sujet de chronique à mon patron en lui annonçant fièrement que j'écrivais sur le «programme de péréquation des commissions scolaires» ! Palpitant, il n'y a pas à dire.
Non, vraiment, ce n'est pas le genre de sujet qui fait courir les foules, mais pourtant, cela concerne tout le monde. À commencer par les propriétaires de maison, qui viennent de s'en faire passer une p'tite vite par le gouvernement Marois. Du moins, certains propriétaires qui verront leur avis d'imposition augmenter, en particulier sur la Rive-Sud et dans la couronne nord de Montréal.
Le dossier de la péréquation scolaire en dit long sur les relations ambigües entre le gouvernement du Québec et les commissions scolaires ainsi que sur les véritables pouvoirs et responsabilités de celles-ci.
Résumons: pour aplanir certaines inégalités de revenus entre commissions scolaires, le gouvernement du Québec a décidé, il y a quelques années, d'instaurer un programme de péréquation visant à aider celles qui ne disposaient pas des ressources fiscales nécessaires.
Au nom de l'équité dans la rigueur budgétaire, le gouvernement Marois demande, dans le budget Marceau, à tous les ministères et organismes de faire leur part pour réduire leurs dépenses. Les commissions scolaires n'y échappent pas, d'où la disparition graduelle (sur trois ans) du programme de péréquation, une compression de 150 millions sur un budget total de 8,1 milliards.
Jusque-là, ça se tient. Au gouvernement, aussi bien dans l'entourage du ministre Marceau que dans celui de sa collègue Marie Malavoy, on a pris soin d'expliquer qu'il s'agissait d'une ponction modeste, raisonnable, graduelle, et que les commissions scolaires devaient, pour reprendre une expression entendue lors du huis clos, «commencer à se responsabiliser». En clair, elles ne devraient pas compenser la perte de revenus de péréquation par des hausses de taxes scolaires, affirmait-on au gouvernement.
Mais comme la nature a horreur du vide et que le moyen le plus simple de le combler étant, justement, une hausse de taxe, il y a fort à parier que les commissions scolaires amputées se tourneront vers les contribuables. (Lire à ce sujet le texte de mon collègue André Dubuc, paru dans La Presse Affaires: http://bit.ly/U7PUZj).
Entre les discours officieux des coulisses gouvernementales et le discours officiel du budget, il y a d'ailleurs toute une marge. Voici ce qu'on peut lire dans le texte du Plan budgétaire, à la page 34:
«Plus d'imputabilité pour un meilleur contrôle des dépenses
L'ajustement apporté au programme de péréquation aura pour effet de réduire les revenus de subvention de certaines commissions scolaires. Les commissaires, afin de maintenir l'équilibre budgétaire, devront réduire les dépenses sans affecter les services aux élèves. Alternativement, ils pourraient choisir de hausser les revenus. Il s'agit de choix difficiles, mais tous les élus doivent y faire face.»
En résumé: perte de revenus; maintien des services; hausses de revenus permises. Penser que les commissions scolaires sabreront tout bonnement leurs dépenses parce que leurs subventions diminuent, c'est comme croire que tous les automobilistes vont ralentir dans les rues de Montréal parce qu'on abaisse la vitesse maximale permise de 50 à 40 km/h.
Le budget Marceau dit qu'«il s'agit de choix difficiles, mais tous les élus doivent y faire face»; en réalité, Québec vient de refiler, par l'entremise des commissions scolaires, une hausse de taxes. Ce n'est ni difficile ni très courageux.
Si le gouvernement Marois voulait vraiment «commencer à responsabiliser» les commissions scolaires, il ne fallait pas leur permettre de refiler leur effort de rationalisation aux contribuables, qui, eux, ne peuvent se défiler.
Voilà une illustration sonnante et trébuchante du malaise persistant entre Québec (peu importe la couleur du gouvernement) et les commissions scolaires, ces institutions mal-aimées des partis politiques et boudées par la population.
La Coalition avenir Québec (CAQ) de François Legault veut carrément les abolir; le Parti libéral du Québec (PLQ) a tenté de leur couper sérieusement les vivres et le Parti québécois (PQ) les laisse à elles-mêmes.
Qu'on soit d'accord ou non avec les intentions de la CAQ, celles-ci sont claires: abolition des 69 commissions scolaires et dévolution de plus grands pouvoirs aux écoles.
Au PLQ, l'ancienne ministre Line Beauchamp a voulu imposer des compressions de 300 millions sur trois ans aux commissions scolaires, mais les militants libéraux ont rejeté cette politique en plein congrès, il y a un an. (Cela dit, l'ancien gouvernement libéral a réduit les budgets des CS de 150 millions en 2010 et 2011, selon la Fédération des commissions scolaires.)
Le PQ rejette l'abolition des commissions scolaires et affirme que cela ne serait qu'un chambardement de structures. Le gouvernement Marois assure vouloir accorder plus d'autonomie aux commissions scolaires.
Accorder plus d'autonomie aux CS, c'est leur faire porter l'odieux de hausser les taxes?
Et puis, quelle autonomie? La réalité quotidienne, par opposition aux discours politiques, c'est que les commissions scolaires doivent attendre les études et le fric de Québec pour décontaminer des écoles primaires rongées par des moisissures débilitantes.

VINCENT MARISSAL   La Presse - Publié le 28 novembre 2012 à 00h00 

Lire: http://bit.ly/U7PUZj (Journal les affaires)

mardi 20 novembre 2012

À la recherche de l'homme





«L'homme est un singe tueur qui n'a pas assez évolué pour contrôler son agressivité», nous dit l'éthologiste Konrad Lorenz.

Gente da minha terra - Mariza - Vidéo Dailymotion


Gente da minha terra - Mariza - Vidéo Dailymotion


Un coup de coeur que m'a partagé mon frère. À découvrir, à écouter, et encourager. D'un lyrisme et d'une passion qui poigne au coeur et qui nous chavire. Bravo ! L'Humanité est belle quand on se laisse bercer par une pareille performance.

Tes rêves, c'est ta vie. N'abandonnes jamais.




Une leçon de vie. Partager avec vos enfants, ils en sortiront...grandis?
Et peut-être vous aussi. :)



À la recherche de l'homme






...«en termes plus familiers, les chimpanzés, les bonobos sont nos frères et les gorilles sont nos cousins. Tout ce que nous partageons exclusivement avec les chimpanzés et les bonobos vient alors de notre dernier ancêtre commun.» (ndlr: D.A.C.)

À la recherche de l'homme, Pascal Picq et Laurent Lemire.

À la recherche de l'homme









«On peut poser que le Dernier Ancêtre Commun (D.A.C.) des hommes, des chimpanzés et des bonobos est de stature moyenne (trente à quarante kilos pour un mètre), possède un cerveau relativement développé par rapport aux singes (N.D.L.R.: Excluant les chimpanzés et les bonobos), de 300 à 400 centimètres cubes, et des canines modérément saillantes. Il vit dans un milieu arboricole et dispose d'un répertoire locomoteur intégrant la bipédie. Il a un régime omnivore éclectique qui inclut, peut-être, des proies saisies de manière opportuniste. Il vit dans une communauté de plusieurs dizaines d'individus, composée de plusieurs adultes mâles et femelles et de leurs enfants, qui exploite un vaste territoire de plusieurs dizaines de kilomètres carrés où elle collecte sa nourriture. Au sein des groupes de la communauté les femelles peuvent se déplacer seules sur le territoire protégé par les mâles. Ces derniers sont apparentés et entretiennent des relations hiérarchiques fondés sur des alliances. Ils ont des rapports très hostiles envers leurs voisins. Les rapports sociaux sont déterminés par les relations privilégiés entre les mâles (c'est l'inverse chez tous les autres singes), ce qui n'exclut pas de fortes influences exercées par des femelles dans les jeux politiques. les relations entre les mâles et les femelles admettent certains liens privilégiés, comme une sexualité proche de celle des hommes, mais les mâles s'investissent peu dans l'éducation des jeunes.»






re: À la recherche de l'homme, Pascal Picq et Laurent Lemire

À la recherche de l'homme







L'usage d'outils et la transmission d'un savoir-faire font partie des stratégies de survie. Au niveau des capacités mentales, on peut ajouter, par rapport aux autres singes, la capacité d'imiter, de se mettre à la place de l'autre (empathie) et de comprendre ce que ressent l'autre (sympathie), la conscience de soi, la propension à mentir et à manipuler les autres, la faculté de montrer (culture - éducation), l'aptitude à afficher ou à camoufler ses intentions et celles à se réconcilier. Tous ces caractères se retrouvent chez les hommes, les chimpanzés et les bonobos et font partie des bagages légués par un lointain ancêtre commun (D.A.C.)...



L'identification du dernier ancêtre commun permet de reconstituer le commencement de notre histoire. C'est un changement de paradigme et non la perte d'un paradis, puisque nous avons enfin retrouvé nos frères prodigues de l'évolution, les chimpanzés et les bonobos.



re : À la recherche de l'homme. Pascal Picq et Laurent Lemire

Première image du satellite météorologique Tiros







Je me souviens au début des années 60, je lisais des livres empruntés à la Bibliothèque municipale traitant de l'envoie de satellites météorologiques dont Tiros. Il y avait aussi les satellites de communication «Echo». C'était un ballon de plus de 30 mètres (100 pieds) de diamètre, recouvert d'aluminium.


Quelle aventure extraordinaire que cette conquête de l'espace. J'ai eu le privilège d'être témoin (bien jeune, faut-il le dire?) de ses balbutiements technologiques dignes de la meilleure science-fiction pour l'époque.


Image telle que j'avais vue dans les livres à cette époque du satellite Echo 1A :









lundi 19 novembre 2012

À la recherche de l'homme




Les proportions de notre corps changent considérablement au fil des âges. Les jeunes enfants ont une tête beaucoup plus volumineuse par rapport au corps que les adultes: la boîte crânienne et les yeux sont relativement plus grands alors que 
la face apparaît réduite et les membres relativement courts...

Les dessinateurs maîtrisent parfaitement, bien que de façon empirique, ces constances de la biologie du développement. Un exemple éminemment célèbre est celui de Mickey...Quelque dessins suffisent à montrer comment les créateurs rendent leurs personnages de plus en plus sympathiques en leur donnant des proportions juvéniles.

... Mickey voit sa tête s’arrondir, ses yeux s'agrandir et ses membres rétrécir tandis que son front devient plus imposant.

...Chez les animaux de petites tailles, le cerveau et les yeux sont relativement plus volumineux que chez ceux de grandes tailles. C'est pour cette simple raison que les animaux possédant des proportions juvéniles attirent tant de maîtres en mal d'affection. Leur morphologie rassure et laisse espérer des promesses de tendresse.

re: «À la recherche de l'homme», Pascal Picq et Laurent Lemire - p 262

Tableaux blancs interactifs: Québec suspend le programme

Publié le 19 novembre 2012 à 05h00 | Mis à jour à 11h24


La ministre de l'Éducation, Marie Malavoy, veut prendre un temps de réflexion pour évaluer le programme d'achat de tableaux interactifs mis en branle par le gouvernement précédent.
PHOTO: OLIVIER PONTBRIAND, ARCHIVES LA PRESSE

(Québec) Le gouvernement Marois remet en cause l'achat massif de tableaux blancs interactifs pour les écoles publiques. Il désavoue donc cet héritage de Jean Charest.



Le premier ministre libéral a lancé le projet en 2011, à la surprise générale, dans le discours d'ouverture d'une nouvelle session parlementaire. Plus de 40 000 tableaux numériques devaient être achetés en cinq ans pour remplacer les tableaux noirs. La facture est estimée à 240 millions de dollars.
Autre gouvernement, autre vision. Selon la ministre de l'Éducation, Marie Malavoy, «c'est un programme mur à mur qui, à l'évidence, n'était peut-être pas la meilleure solution».
Au cours d'un entretien avec La Presse, elle a affirmé qu'elle veut prendre le temps nécessaire pour «faire le point sur la situation». Une réflexion s'impose avant d'aller plus loin, croit-elle. Manifestement, elle n'a pas l'intention de poursuivre le programme tel quel.
«Le problème, c'est que ces tableaux ne correspondent pas nécessairement aux besoins des commissions scolaires et des écoles. Ce n'était pas une demande de leur part. Ce n'est pas un choix qu'elles ont fait», dit la ministre.
Un second appel d'offres pour l'achat de 5400 tableaux a été lancé récemment. Marie Malavoy a laissé entendre qu'il sera maintenu. «Je ne veux pas décrocher les tableaux là où il y en a», dit-elle.
Le programme a connu un faux départ. Le premier appel d'offres a été annulé «parce qu'on a soupçonné qu'il ne s'était pas fait dans les règles», pour reprendre les termes de la ministre. La Presse a révélé en mars que la très grande majorité des achats étaient faits auprès d'un fournisseur quasi unique, Smart Technologies, dont le lobbyiste est un ancien membre du cabinet de Jean Charest.
La Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l'information et de la communication en éducation a publié le printemps dernier une synthèse des recherches sur les tableaux blancs interactifs (TBI). Elle conclut que «peu ou prou d'études sérieuses permettent de montrer un quelconque impact des TBI sur la réussite scolaire [...]. Leurs résultats sont parfois contradictoires, plutôt modestes, et montrent la plupart du temps que cet outil technologique ne semble pas avoir de réel impact, à court terme du moins, sur la réussite éducative des élèves». «Au-delà des stratégies marketing et des déclarations politiques à tout-va, il semble que peu d'éléments permettent une intégration pédagogique justifiée et avisée du TBI dans toutes les salles de classe du Québec», ajoute-t-elle. Les trois chercheurs, dont le directeur de la Chaire, Thierry Karsenti, affirment même qu'«on peut s'étonner que tant d'incertitudes donnent lieu à un tel investissement qui, dans n'importe quelle compagnie, nécessiterait au préalable une analyse minutieuse des besoins réels des acteurs et des retombées (pédagogiques dans notre cas) par le biais de recherches rigoureuses sur ses impacts».
Des surprises et des problèmes
Selon la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement, «c'est une mesure politique et pas nécessairement pédagogique». «Cette annonce-là a pris tout le monde par surprise. On parle quand même d'un quart de milliard! Les milieux n'ont pas été consultés. Ça ne correspond pas aux besoins», affirme Lorraine Normand-Charbonneau, présidente de la Fédération.
Depuis sa création, le programme a engendré «plein de problèmes», selon elle. La formation destinée aux enseignants est parfois déficiente. Les commissions scolaires n'ont pas toujours les moyens pour offrir du soutien technologique. Des tableaux restent emballés et entreposés faute de budget pour en faire l'installation. Dans certaines écoles, le réseau internet surchauffe: il n'y a pas assez de bande passante pour répondre aux besoins de tous les tableaux numériques. «C'est un bourbier administratif et organisationnel», résume Mme Normand-Charbonneau.
Le tableau blanc interactif est «un outil technologique parmi d'autres» qui, selon elle, ne devrait pas être imposé à tous. «On est pour les nouvelles technologies. Mais ça nous prend de la souplesse. Qu'on laisse choisir les milieux», soutient-elle. Elle donne l'exemple de la commission scolaire Eastern Townships, qui a choisi il y a quelques années de se procurer des ordinateurs portables pour ses élèves. Les résultats scolaires se sont améliorés depuis.

jeudi 15 novembre 2012


Élections scolaires en 2014

La FCSQ souhaite toujours la tenue d’élections scolaires et municipales simultanées Québec, le 10 novembre 2012 – La Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ) réserve un accueil mitigé à l’annonce faite par la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, vendredi en fin de journée, quant à la tenue d’élections scolaires en 2014.
« Nous aurions souhaité que les conditions soient en place pour que des élections scolaires et municipales se tiennent simultanément en 2013, et les sondages nous indiquent que c’est ce que la population souhaitait également, mais l’inaction du précédent gouvernement dans ce dossier rend la chose pratiquement impossible », a reconnu la présidente de la FCSQ, Josée Bouchard.

Dès 2007, la FCSQ avait mis de l’avant la proposition de tenir des élections scolaires et municipales simultanées afin de valoriser davantage la démocratie auprès de la population. « Des élections simultanées permettraient aux électeurs d’être mieux informés des enjeux en cause, de diminuer le nombre de rendez-vous électoraux, d’entraîner des économies d’échelle et, ultimement, de diminuer le cynisme de la population envers les élus et la politique et d’augmenter le taux de participation. Ce sont les électeurs qui sortiraient gagnants de cet exercice démocratique », a rappelé la présidente de la FCSQ. Mme Bouchard tient toutefois à souligner l’intérêt manifesté par la ministre Marie Malavoy pour cette proposition, qui était d’ailleurs incluse dans la plateforme électorale de son gouvernement, et l’invite à poursuivre sa réflexion.

Élections scolaires sous le signe du renouvellement

La présidente de la FCSQ précise que l’annonce de la tenue d’élections scolaires en 2014 est tout de même accueillie favorablement par les commissions scolaires, puisqu’elle met fin à l’incertitude qu’avait créé l’absence de suivi au projet de loi no 86, qui reportait la tenue des élections scolaires de 2011. Ces élections seront l’occasion de mettre en application les modalités prévues par la Loi modifiant la Loi sur l’instruction publique adoptée en 2008 (projet de loi no 88), qui prévoit notamment une diminution du nombre de commissaires scolaires et l’élection des présidents au suffrage universel.

« L’adoption de cette loi était accompagnée d’un engagement de revoir les conditions d’exercice des élus scolaires qui sont présentement inéquitables par rapport à celles des élus municipaux, a rappelé la présidente de la FCSQ. Je demande donc au ministre responsable des Institutions démocratiques et de la Participation citoyenne d’inclure les élus scolaires dans sa vaste réflexion sur le financement des partis politiques et à son gouvernement de mettre en oeuvre dans les plus brefs délais un groupe de travail qui se penchera sur l’analyse des conditions d’exercice des futurs élus scolaires ».

Mme Bouchard souligne également que la tenue d’élections scolaires en 2014 permettra aux commissions scolaires de compléter les travaux entamés avec le plan d’action Pour un renouvellement des commissions scolaires. « La démocratie scolaire est un joyau qu’il faut chérir et nous nous sommes engagés à l’améliorer. Et en participant aux élections scolaires, les citoyens peuvent contribuer eux aussi à l’amélioration continue de notre système public d’éducation ».

Élections scolaires et municipales simultanées en 2017

La FCSQ réitère qu’elle souhaite toujours la tenue d’élections scolaires et municipales simultanées. Parallèlement aux travaux qui mèneront à la tenue d’élections scolaires en 2014, la Fédération demande donc au gouvernement d’entreprendre des démarches très rapidement en vue de la réalisation d’un scrutin simultané en 2017. « J’espère que nous ne répéterons pas les erreurs du passé! J’invite le gouvernement à réunir les commissions scolaires, les municipalités et le Directeur général des élections afin que débutent immédiatement les travaux dans le meilleur intérêt des électeurs et de la démocratie », a conclu Josée Bouchard.
La Fédération des commissions scolaires du Québec regroupe les 60 commissions scolaires francophones du Québec ainsi que la Commission scolaire du Littoral. Les commissions scolaires sont des gouvernements locaux qui veillent à la réussite scolaire de plus d’un million d’élèves en assurant des services éducatifs au primaire, au secondaire, en formation professionnelle et à l’éducation des adultes. Elles offrent aussi des services efficaces et essentiels, notamment en matière de ressources humaines et de ressources matérielles et financières. De plus, les commissions scolaires ont la responsabilité de répartir équitablement les ressources entre leurs établissements et de rendre accessible, en tout temps, un transport scolaire sécuritaire.

Source : Caroline Lemieux
Attachée de presse
Fédération des commissions scolaires du Québec

mercredi 14 novembre 2012



À la défense des commissions scolaires -
La visite de la ministre Malavoy a été l'occasion pour Madame Malavoy de réitérer ses propos prononcés quelques jours plus tôt lors d'une allocution devant les présidents et directeurs généraux des commissions scolaires du Québec.
À cette occasion, comme le rappelle M. Page dans un communiqué de presse, Marie Malavoy avait notamment assuré les commissions scolaires de son soutien pour relever les défis qui se présentent.
Selon ce qu'elle a répété à Drummondville, le réseau public, accessible à tous, doit se développer et a réitéré qu'elle compte s’assurer que les commissions scolaires aient tous les moyens pour le faire.
La ministre est allée plus loin en affirmant que le gouvernement du Parti québécois allait se porter à la défense des commissions scolaires avec constance et détermination.
La ministre a précisé qu’elle croyait fermement à la pertinence de ce palier de gouvernement et qu’il n’est pas question d’une plus grande centralisation en éducation.
Elle compte plutôt appuyer les commissions scolaires vis-à-vis leurs critiques et les aider à se transformer.
La ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport a aussi abordé la question de la démocratie scolaire en se disant bien au fait des demandes des commissions scolaires pour la tenue d’élections scolaires et municipales simultanées, réaffirmant que son gouvernement allait travailler sur ce qui est possible de faire compte tenu des difficultés dont lui a fait part le directeur général des élections.
Bien sûr, une rencontre avec la ministre de l'Éducation sans parler de décrochage scolaire n'aurait pas été complète, alors que Mme Malavoy en a profité pour identifier les pistes de solution que son gouvernement entend mettre de l’avant pour contrer cette problématique.

Publié le 30 Octobre 2012
Gérard Martin, journal L'Express

samedi 27 octobre 2012





Il est plutôt intéressant de voir cette peinture de Bramentino datée de 1520 personnifiant deux lunes dessinées avec un visage en plan symétrique de part et d'autre à gauche et à droite du tableau, auxquels plans sont dessinés toujours en symétrie un ange à la droite de Christ en croix et de Satan à sa gauche, positionnés respectivement du coté du bon et du mauvais larron.




jeudi 23 août 2012

Dernier passager, Télé-Québec

Félicitations à l'équipe défendant les couleurs de l'école secondaire Jeanne-Mance qui a fait belle figure lors de l'émission Dernier passager diffusée par Télé-Québec

Participation télévisuelle de Jeanne-Mance au Dernier Passager


Une équipe défendant les couleurs de l'école secondaire Jeanne-Mance a fait belle figure de toute évidence lors de l'émission Dernier passager diffusée par Télé-Québec, sauf qu'il faudra attendre manifestement l'automne pour en avoir le cœur net.



En effet, quelques semaines avant la fin de la dernière année scolaire, des élèves de l'école Jeanne-Mance se sont présentés sur le plateau de tournage de ce jeu télévisé animé par Anaïs Favron.



Ils y ont affronté les équipes de l'école Saint-Charles, de Pont-Rouge, et de la polyvalente des Abénakis, de Saint-Prosper.

On nous dit que l’ambiance était survoltée dans ce studio de Télé-Québec transformé pour l’occasion en terminal d’autobus.

Les jeunes de Jeanne-Mance, représentant le Centre-du-Québec, ont bien fait, nous assure-t-on, en relevant une série de défis spectaculaires qui ont mis leurs connaissances et leurs aptitudes physiques à rude épreuve.

«Encouragés par les applaudissements nourris du public, qui était composé de leurs compagnons de classe, amis, professeurs et parents, les élèves ont fièrement représenté leur école», fait part Diane Girard, leur accompagnatrice, qui est néanmoins tenue au secret.

Selon le principe du jeu, disons-le, chaque fois qu’une épreuve était remportée, un joueur obtenait l’autorisation de monter à bord de son autobus.
 
Plus il y avait de joueurs dans l’autobus, plus l’équipe était près de remporter la partie.
Mais le sort n’en était pas nécessairement jeté, car à la toute fin, il fallait aussi trouver la bonne clé pour faire démarrer le véhicule.

Pour connaître l’issue de cette lutte amicale, il faudra donc être au rendez-vous, dès l’automne, sur les ondes de Télé-Québec, pour la deuxième saison de l'émission Le Dernier Passager.

Mais chose certaine cependant, cette expérience télévisuelle restera graver longtemps dans l'esprit des jeunes représentants de cette école de la Commission scolaire des Chênes.